Lundi 23 février 2009 à 23:09
Tell me why
tell me why
tell me why the wind is so cold
take my heart inside your love
tell me why
tell me why
tell me why I feel so blue
tell me why tell me why I love you
my love for you would break my heart
no no no
no way to change my heart
I still wanna be in this endless blue verse
I feel so blue in this white poem
love will find the way
this is the line you used to love
do you still believe that
while I'm away, read this line again
Publié par shinytear
j'ai l'esprit chanson
Jeudi 19 février 2009 à 13:22
c'est ma 3e semaine de CDI et déjà je regrette de l'avoir accepté.
déjà le salaire est encore plus bas que prévu. sales radins ><
mon patron ce sale vieux parle de moi comme si je n'étais pas là. de toute façon il ne me parle pas directement, il passe toujours pas mon boss. sale vieux crétin! abruti!
heureusement je peux aller sur le net et je ne m'en prive pas. y a rien qui me motive à bosser. A part m conscience professionnelle. Donc oui je bosse, mais je pends mon temps. je fais tout, mais de façon zen. on a le temps.
et je compte.
là y a les cadeaux de maman, Constance et Loup à acheter. bon c'est fait. je me suis quelque peu ruinée mais bon ça vaut la peine, c'est pour leur faire plaisir. Il n'y a pas de raison que Loup fasse les frais de mes problèmes d'argent. il aura des cadeaux d'anniversaire dignes de ce nom, non mais!
mais maman aussi hein ^^" j'admets avoir pensé à réduire le sien mais... non. son coffret de beauté aux senteurs balinaises elle va adorer xD
y a aussi ces imbéciles du trésor public qui ne savent pas ce qu'ils veulent.
donc je suis "endettée" jusqu'à mai. donc je dois bosser jusque juillet? aout? septembre? après je ne pense pas rester. ça n'en vaut vraiment pas la peine. alors je vais chercher à côté. et dire que mon sale vieux de patron m'a fait un CDI pour que "ça me motive à m'investir dans mon travail" c'est ça oui. motivation zero!
de toute façon pour lui, une femme ça ne travaille que pour s'occuper, limite pour s'amuser. Et moi qui suis la plus jeune de la boite, pour lui le salaire qu'il me donne c'est pour que je puisse m'acheter des bonbons, voilà tout. que je n'ai pas besoin d'un salaire viable. vous savez, de ceux qui permettent de payer les factures, le loyer, les courses.
marre!
je suis de très mauvais poil. agrrrrr!!!
bon sinon j'ai reçu le cadeau de maman, elle l'aura demain et elle va adorer.
celui de Constance, j'espère qu'elle va aimer.
et j'attends impatiemment ceux de Loup.
allez fin du coup de gueule.
ça va se tasser tout ça. mais mon sale vieux patron se fout vraiment de moi. je vois rouge quand je le croise.
bon ce n'est pas le plus important dns la vie. mais ça prend tellement de temps tout ça...
Jeudi 19 février 2009 à 0:42
je lui en voulais.
je lui en voulais vraiment.
s'il n'y avait pas eu ce week end en Bretagne, nous ne serions vraiment plus rien l'un pour l'autre.
mais je l'ai revu.
et loin de l'inimitié que je m'attendais à éprouver, c'est de l'affection que j'ai ressenti.
je voulais aller vers lui, lui parler, lui sourire franchement, le prendre dans mes bras peut être. (même si ce geste est assez délicat car il pourrait être interprété de travers).
je ne voulais plus de colère et de rancoeur entre nous.
c'est trop moche.
alors nous empruntons le chemin de la réconciliation.
parce que c'est plus agréable de se sourire sincèrement, c'est plus facile d'être bien, de pouvoir rire ensemble.
un monde où tout le monde s'aime ce n'est pas possible, mais dans mon entourage, je privilégie la bonne entente, la gaieté et la complicité.
nous empruntons le chemin de la réconciliation.
et j'espère (mais je le crois) que ce sera un bien joli sentier.
Publié par shinytear
j'ai l'esprit
Jeudi 19 février 2009 à 0:35
et toi aussi tu pleures la nuit?
allongée dans ton lit, dans l'obscurité totale tu attends désespérément un sommeil qui ne vient pas.
il a suffi d'une phrase de trop, tes yeux ont réagi, ton corps aussi et avant que tu ne l'aies réalisé, tu pleurais et tu t'éloignais de la chaleur, de la lumière.
tu t'es retrouvée à errer dans cette ville que tu méconnaissais, marchant tout droit n'ayant qu'un but : respirer, prendre l'air, te changer les idées.
penser à autre chose.
mais tu ne peux pas penser à autre chose quand ta réaction t'obsède et que tu la comprends si peu.
Il fait froid, tes larmes sèchent.
tu restes assise là, les yeux dans le vague.
le temps passe et tu ne le remarques pas.
tes pensées sont simples : "pourquoi j'ai réagi comme ça? pourquoi est-ce que ça me touche encore?"
tu ne sais pas. tu ne comprends pas.
tu aimerais à ce moment, avoir quelques mots de celui que tu aimes et qui partage ton amour. des mots d'amour. pour te réconforter. t'aider à avancer. mais dans ta précipitation tu as oublié ton portable. et quand bien même, jamais tu n'oserais lui parler de ce qui s'est passé.
il n'y avait même pas d'étoiles...
les gens passaient, tous différents, tu les apercevais à peine.
il y avait la musique de la fête foraine voisine au début. après tu ne l'as plus entendue mais tu ne l'as pas vraiment réalisé.
tu n'as regardé ta montre à aucun moment.
finalement tu es rentrée. tu espérais qu'on aurait pas trop remarqué cette fuite de 5 minutes à peine.
sauf qu'elle en avait duré 30.
et qu'ils étaient partis dans tous les sens à ta recherche.
tu es mortifiée. tout ça c'est à cause de toi. ils vont penser que tu ne vas toujours pas bien. que ta réaction était exagérée.
et c'est vrai. mais tu ne te contrôlais déjà plus.
tu ne supportais plus d'entendre ce que tu as pris pour des reproches. et puis des reproches pour quoi à la fin? pourquoi t'a-t-elle dit ça? pourquoi avez vous parlé de ça? tu es persuadée de ne pas avoir lancé le sujet. et tu espères que tu ne l'as pas fait, en effet.
mortifiée. tu es mortifiée quand ils reviennent tous un par un bredouilles, rassurés de te voir mais fâchés aussi. et inquiets. les pauvres.
et depuis tu ne dors plus la nuit, tu te tortures à te demander pourquoi tu as réagi ainsi. et ce qu'elle voulait te dire ton amie quand elle t'a fait craquer. elle voulait te faire passer un message mais tu n'as pas été capable de le comprendre.
tu t'es aussi demandé pourquoi justement, tes sentiments avaient fini par prendre ce chemin.
aujourd'hui tu as trouvé la réponse.
mais pourtant ça ne va pas mieux. le sommeil te fuit toujours autant.
et tu as peur. peur qu'il ait rendu sa vision de toi réelle.
et que tu ne vailles pas la peine au final.
tu es tendue. trop tendue.
tu pleures la nuit.
et tu attends désespérément, allongée dans ton lit, ce sommeil qui ne vient toujours pas.