Quand Fanaa rouvrit les yeux, elle se trouvait sur le lac de la cité souterraine.
Immobile tout d'abord, incapable de se rappeler comment elle y était parvenue, elle ressentit comme une étrange mélodie dans sa tête, et se concentra pour en définir le rythme, le motif ainsi tissé qui allait la guider. La Danseuse fit un pas à droite, puis à gauche, un autre, leva gracieusement les bras, dessinant des arabesques dans les airs, puis se laissa emporter. C'était si simple après le premier pas... Fanaa dansait sur les eaux du lac des ombres. Elle tendit le bras et dans sa main apparut un long ruban violet sombre. Au fil de ses gracieux mouvements, le ruban formait des volutes dans les airs.
Fanaa était comme absente, se mouvant sans y penser, écoutant les murmures de la cité secréte. Si elle ne se fondait pas totalement dans l'esprit de Shalanos-la-noire, cette dernière n'émettait pas de franche hostilité à son égard. Au contraire elle observait, curieuse, cette silhouette souple et légère silencieusement glisser à la surface de l'eau.
Le spectacle semblait irréel, tout comme cette étrangère qui venait de loin, de si loin qu'elle en semblait proche, et qui éveillait en l'esprit du grand Sentence un écho infiniment lointain. Du temps où il y avait encore de la vie sur les lunes...
Immobile tout d'abord, incapable de se rappeler comment elle y était parvenue, elle ressentit comme une étrange mélodie dans sa tête, et se concentra pour en définir le rythme, le motif ainsi tissé qui allait la guider. La Danseuse fit un pas à droite, puis à gauche, un autre, leva gracieusement les bras, dessinant des arabesques dans les airs, puis se laissa emporter. C'était si simple après le premier pas... Fanaa dansait sur les eaux du lac des ombres. Elle tendit le bras et dans sa main apparut un long ruban violet sombre. Au fil de ses gracieux mouvements, le ruban formait des volutes dans les airs.
Fanaa était comme absente, se mouvant sans y penser, écoutant les murmures de la cité secréte. Si elle ne se fondait pas totalement dans l'esprit de Shalanos-la-noire, cette dernière n'émettait pas de franche hostilité à son égard. Au contraire elle observait, curieuse, cette silhouette souple et légère silencieusement glisser à la surface de l'eau.
Le spectacle semblait irréel, tout comme cette étrangère qui venait de loin, de si loin qu'elle en semblait proche, et qui éveillait en l'esprit du grand Sentence un écho infiniment lointain. Du temps où il y avait encore de la vie sur les lunes...
et pour le destin on dit Merci Oscar !!! (oui il est doué ^^)