Auchan de Villetaneuse
shinytear
Plume-esprit ou Esprit de plume...
Mardi 23 janvier 2007 à 18:03
"La petite Naïca attend sa maman à l'accueil du magasin!"
un super souvenir, d'une super journée avec Salia, Lala Ru et VIP Hebi ^^vendredi 19 janvier 2007
Auchan de Villetaneuse
Auchan de Villetaneuse
Publié par shinytear
j'ai l'esprit citations
Samedi 20 janvier 2007 à 0:02
Ca a commencé par une question, une question anodine en fait. Mais parfois une simple question peut faire tellement mal! Et cette question, c'est moi qui l'ai posée... oh je m'en veux tellement...
C'était ce matin. Quand j'ai ouvert les yeux, j'étais dans ses bras, en sécurité, son corps chaud tout contre le mien. Je lui ai donné un baiser et me suis resserrée contre lui. Il s'est éveillé, m'a embrassé le front, nos regards se sont croisés et il m'a souri. Oh son sourire! Il me fait fondre. Je crois bien que chaque fois qu'il me sourit je l'aime plus qu'avant. Mon amour... C'est alors que j'ai souri aussi et lui ai demandé:
- Mon amour, quelle est la date de ton anniversaire?
- Mon quoi? Il a semblé troublé.
- Ton anniversaire. Tu sais, le jour où l'on fête ta venue au monde.
Un voile de tristesse a assombri son regard. Voir cela m'a fait un tel choc! je cherchais quelque chose à dire quand il a lâché d'un ton sarcastique:
- Je ne suis pas sûr que ma naissance vaille d'être fêtée...
Il s'est redressé, le regard dans le vague. Je l'ai étreint, lui disant qu'il se trompait, que son existence était quelque chose de très important.
Il m'a lancé lança un regard peiné et m'a repoussée. Gentiment d'accord mais il m'a repoussée et ce geste me fit ô combien plus mal qu'un coup de poignard. J'eus soudain très froid. Il sortit du lit, s'habilla et se dirigea vers le balcon.
- Thanos?
Il laissa tomber sans se retourner, sans même me prêter un regard:
- J'ai envie d'être seul.
Il déploya ses ailes et sauta.
Je grelotte maintenant. De froid. De peur. De tristesse. Je me lève à mon tour, m'enroule dans le drap et m'envole à sa suite. Il est à l'étage inférieur, enfermé dans son bureau. Je m'approche la porte et y toque. En attendant qu'il vienne m'ouvrir, je me concentre et cherche en moi, dans les souvenirs de sa vie que j'ai -ceux que nous avons partagés lors de la fusion des âmes- mais je ne trouve rien, aucun moment de bonheur, aucun jour de liesse pour fêter son anniversaire. Par ma faute, il s'est rappelé combien son père lui en avait voulu d'être né. Si il a du chagrin au jourd'hui, c'est à cause de moi.
Je tape encore à la porte et lance à travers elle:
- Mon amour excuse moi! Je t'en prie, ne m'en veux pas, je suis désolée, je ne voulais pas te rappeler de mauvais souvenirs, s'il te plait, ne sois pas fâché!
Il ouvre et parait pour me dire d'une voix douce et triste:
- Je ne t'en veux pas, je sais bien que tu ne pensais pas à mal.
- Bien sûr que non! Je tenais à honorer ton existence car je trouve cela merveilleux, moi!
Il me regarde, me caresse la joue et murmure pensivement:
- Tu es gentille...
- "Gentille" ? mais ça n'a rien à voir! Thanos je t'aime et le fait que tu sois auprès de moi est un réel bonheur!
Je m'enflamme, souhaitant qu'il comprenne à quel point il compte pour moi, combien être avec lui m'est devenu vital... Pourtant je me demande si mes paroles le touchent, si il me croit. Il me fait taire en lâchant tristement mais fermement:
- Mon amour... j'ai vraiment besoin d'être seul.
Il dépose un baiser sur mon front et referme tout doucement sa porte.
Je reste un moment immobile face à cette porte close, attendant. Pourtant qui sait quand il sortira? J'ai tellement envie d'aller le voir, de l'enlacer... mais je dois le laisser tranquille. Il me l'a demandé. Aprés un dernier regard, je m'éloigne.
Je déambule dans la tour, cette grande tour vide. Comment m'occuper? Je m'ennuie et le regard voilé de tristesse de mon bien-aimé ne quitte pas mon esprit. Je me sens coupable. Comment me rattraper?
Je descends à l'étage bibliothèque, saisis un ouvrage et m'installe. Au bout de quelques pages, je le referme. Je suis incapable de ma souvenir de ce que j'y ai lu. Thanos...
Il faut que je me reprenne. Ce n'est pas parce que je me mets à déprimer que Thanos ira mieux. Bien. Et puis je ne vais pas passer la journée en drap, et si des invités surprise arrivaient? Je retourne à l'étage de son bureau, de l'armurerie et ... ma garde-robe. Je choisis une longue robe rose pâle nacré dans laquelle je me glisse puis, devant mon miroir je remonte mes cheveux en une cascade de boucles. je pense que c'est joli, qu'en penserait Thanos?
Je me mets en chemin, à la recherche d'un endroit spécial, un lieu conçu en secret avec l'aide de Bès. Sur un des escalier je m'arrête, écarte une des tentures qui ornent le mur et effleure un endroit précis de ce-dernier. La peroi s'ouvre et je me faufile dans le passage ainsi dévoilé. J'observe la pièce. Vu ses dimensions, elle ne devrait pas se trouver dans le mur de la tour. Les parois de Naernamarth ont beau être très épaisses, ils ne le sont quand même pas assez pour accueillir une pièce d'environ 100 m².
La pièce est d'une couleur gris argent pâle, presque blanche. Sur une longue estrade se trouve un piano à queue blanc. Une fenêtre haute d'une dizaine de mètres permet, la nuit venue, à la lune de baigner la scène d'une lumière irréelle. L'atmosphère qui règne ici est indescriptible et spéciale entre toutes. La première fois, elle nous semble hors de tous lieux et hors du temps, mais si on l'apprivoise on s'y sent chez soi.
Je m'installe au clavier et caresse quelques touches. Cette pièce je l'avais rêvée et l'ai fait concevoir à l'attention de mon bien aimé. J'attendais juste une occasion de la lui montrer, et j'avais pensé que peut être son anniversaire en serait une. Je me suis trompée.
En ressortant je laisse le passage ouvert et déplace la tenture de façon à... qui sait?
La journée se passe ainsi: longue et triste. Mon époux ne reparaît pas. Je finis par aller me coucher. Dans le grand lit vide je l'attends. Il n'arrive pas. Je me roule en boule dans le fond du lit mais rien à faire, le sommeil ne me vient pas. Ma solitude l'empêche d'approcher.
Je me redresse, prend une plume, du papier et y trace quelques mots. Puis, abandonnant a feuille sur le lit, je retourne au bureau de Thanos. La porte est toujours close. Je lève la main mais arrête mon geste. Pour être encore repoussée? non!
Je recule et me précipite vers le balcon. De là-haut je prends mon envol et vais m'installer sur le toit de la tour. Tant qu'à être seule, autant être près des étoiles...
C'était ce matin. Quand j'ai ouvert les yeux, j'étais dans ses bras, en sécurité, son corps chaud tout contre le mien. Je lui ai donné un baiser et me suis resserrée contre lui. Il s'est éveillé, m'a embrassé le front, nos regards se sont croisés et il m'a souri. Oh son sourire! Il me fait fondre. Je crois bien que chaque fois qu'il me sourit je l'aime plus qu'avant. Mon amour... C'est alors que j'ai souri aussi et lui ai demandé:
- Mon amour, quelle est la date de ton anniversaire?
- Mon quoi? Il a semblé troublé.
- Ton anniversaire. Tu sais, le jour où l'on fête ta venue au monde.
Un voile de tristesse a assombri son regard. Voir cela m'a fait un tel choc! je cherchais quelque chose à dire quand il a lâché d'un ton sarcastique:
- Je ne suis pas sûr que ma naissance vaille d'être fêtée...
Il s'est redressé, le regard dans le vague. Je l'ai étreint, lui disant qu'il se trompait, que son existence était quelque chose de très important.
Il m'a lancé lança un regard peiné et m'a repoussée. Gentiment d'accord mais il m'a repoussée et ce geste me fit ô combien plus mal qu'un coup de poignard. J'eus soudain très froid. Il sortit du lit, s'habilla et se dirigea vers le balcon.
- Thanos?
Il laissa tomber sans se retourner, sans même me prêter un regard:
- J'ai envie d'être seul.
Il déploya ses ailes et sauta.
Je grelotte maintenant. De froid. De peur. De tristesse. Je me lève à mon tour, m'enroule dans le drap et m'envole à sa suite. Il est à l'étage inférieur, enfermé dans son bureau. Je m'approche la porte et y toque. En attendant qu'il vienne m'ouvrir, je me concentre et cherche en moi, dans les souvenirs de sa vie que j'ai -ceux que nous avons partagés lors de la fusion des âmes- mais je ne trouve rien, aucun moment de bonheur, aucun jour de liesse pour fêter son anniversaire. Par ma faute, il s'est rappelé combien son père lui en avait voulu d'être né. Si il a du chagrin au jourd'hui, c'est à cause de moi.
Je tape encore à la porte et lance à travers elle:
- Mon amour excuse moi! Je t'en prie, ne m'en veux pas, je suis désolée, je ne voulais pas te rappeler de mauvais souvenirs, s'il te plait, ne sois pas fâché!
Il ouvre et parait pour me dire d'une voix douce et triste:
- Je ne t'en veux pas, je sais bien que tu ne pensais pas à mal.
- Bien sûr que non! Je tenais à honorer ton existence car je trouve cela merveilleux, moi!
Il me regarde, me caresse la joue et murmure pensivement:
- Tu es gentille...
- "Gentille" ? mais ça n'a rien à voir! Thanos je t'aime et le fait que tu sois auprès de moi est un réel bonheur!
Je m'enflamme, souhaitant qu'il comprenne à quel point il compte pour moi, combien être avec lui m'est devenu vital... Pourtant je me demande si mes paroles le touchent, si il me croit. Il me fait taire en lâchant tristement mais fermement:
- Mon amour... j'ai vraiment besoin d'être seul.
Il dépose un baiser sur mon front et referme tout doucement sa porte.
Je reste un moment immobile face à cette porte close, attendant. Pourtant qui sait quand il sortira? J'ai tellement envie d'aller le voir, de l'enlacer... mais je dois le laisser tranquille. Il me l'a demandé. Aprés un dernier regard, je m'éloigne.
Je déambule dans la tour, cette grande tour vide. Comment m'occuper? Je m'ennuie et le regard voilé de tristesse de mon bien-aimé ne quitte pas mon esprit. Je me sens coupable. Comment me rattraper?
Je descends à l'étage bibliothèque, saisis un ouvrage et m'installe. Au bout de quelques pages, je le referme. Je suis incapable de ma souvenir de ce que j'y ai lu. Thanos...
Il faut que je me reprenne. Ce n'est pas parce que je me mets à déprimer que Thanos ira mieux. Bien. Et puis je ne vais pas passer la journée en drap, et si des invités surprise arrivaient? Je retourne à l'étage de son bureau, de l'armurerie et ... ma garde-robe. Je choisis une longue robe rose pâle nacré dans laquelle je me glisse puis, devant mon miroir je remonte mes cheveux en une cascade de boucles. je pense que c'est joli, qu'en penserait Thanos?
Je me mets en chemin, à la recherche d'un endroit spécial, un lieu conçu en secret avec l'aide de Bès. Sur un des escalier je m'arrête, écarte une des tentures qui ornent le mur et effleure un endroit précis de ce-dernier. La peroi s'ouvre et je me faufile dans le passage ainsi dévoilé. J'observe la pièce. Vu ses dimensions, elle ne devrait pas se trouver dans le mur de la tour. Les parois de Naernamarth ont beau être très épaisses, ils ne le sont quand même pas assez pour accueillir une pièce d'environ 100 m².
La pièce est d'une couleur gris argent pâle, presque blanche. Sur une longue estrade se trouve un piano à queue blanc. Une fenêtre haute d'une dizaine de mètres permet, la nuit venue, à la lune de baigner la scène d'une lumière irréelle. L'atmosphère qui règne ici est indescriptible et spéciale entre toutes. La première fois, elle nous semble hors de tous lieux et hors du temps, mais si on l'apprivoise on s'y sent chez soi.
Je m'installe au clavier et caresse quelques touches. Cette pièce je l'avais rêvée et l'ai fait concevoir à l'attention de mon bien aimé. J'attendais juste une occasion de la lui montrer, et j'avais pensé que peut être son anniversaire en serait une. Je me suis trompée.
En ressortant je laisse le passage ouvert et déplace la tenture de façon à... qui sait?
La journée se passe ainsi: longue et triste. Mon époux ne reparaît pas. Je finis par aller me coucher. Dans le grand lit vide je l'attends. Il n'arrive pas. Je me roule en boule dans le fond du lit mais rien à faire, le sommeil ne me vient pas. Ma solitude l'empêche d'approcher.
Je me redresse, prend une plume, du papier et y trace quelques mots. Puis, abandonnant a feuille sur le lit, je retourne au bureau de Thanos. La porte est toujours close. Je lève la main mais arrête mon geste. Pour être encore repoussée? non!
Je recule et me précipite vers le balcon. De là-haut je prends mon envol et vais m'installer sur le toit de la tour. Tant qu'à être seule, autant être près des étoiles...
* * *
Le Prince Noir finit pourtant par sortir de son bureau. Il a passé une mauvaise journée, ressassant mauvais et horribles souvenirs. Il a essayé de se concentrer sur un plan de bataille pour son clan mais impossible. Et maintenant c'est la faim qui l'attire hors de sa pièce de travail. Il descend le grand escalier en quête de quelque chose à se mettre sous la dent quand un détail attire son regard. Derrière la tenture. Il soulève le lourd tissu, se glisse dans la passage et reste quelques instants abasourdi à observer la salle. Où se trouve-t-il? Est il seulement encore dans la tour? La pièce est pleine de magie, mais aussi d'émotion. Il s'avance et s'installe au piano. Il caresse le couvercle laqué blanc et le soulève.
Il laisse courir ses doigts sur les touches ébène et ivoire. Au début, ce sont quelques notes timides, premiers pas hésitants, puis il se laisse aller et accélère la cadence. Tout à l'instrument, livre et compose à l'instant la symphonie de sa vie. Passages fortissimo pour les moments intenses, les batailles, les morts, la destruction, piano mélancolique pour la solitude, les questions, puis les combats reprennent, Thanatos qui le contrôle, et lui qui refuse d'être une marionette, quelques portées qu'il répète de nombreuses fois pour le routine, le cycle de son millénaire de vie, puis la découverte d'autres, qui le voient différemment, qui croient en lui, enfin il termine sur une mélodie puissante et crescendo, c'est la déploiement de ses ailes, son envol vers une vie par lui-même choisie, la liberté!
La dernière note tombe. Le Prince s'arrête, essouflé et détendu. Se donner à fond pendant quelques instants dans la musique a exorcisé cette rancoeur enfermée en lui.
Il a maintenant envie de douceur, d'Elyra qu'il a -il le réalise enfin- abandonnée toute la journée et même une partie de la nuit.
En sortant, il replace la tenture de façon à masquer l'entrée de ce qu'il considère comme sa pièce secrète.
Le Prince Noir finit pourtant par sortir de son bureau. Il a passé une mauvaise journée, ressassant mauvais et horribles souvenirs. Il a essayé de se concentrer sur un plan de bataille pour son clan mais impossible. Et maintenant c'est la faim qui l'attire hors de sa pièce de travail. Il descend le grand escalier en quête de quelque chose à se mettre sous la dent quand un détail attire son regard. Derrière la tenture. Il soulève le lourd tissu, se glisse dans la passage et reste quelques instants abasourdi à observer la salle. Où se trouve-t-il? Est il seulement encore dans la tour? La pièce est pleine de magie, mais aussi d'émotion. Il s'avance et s'installe au piano. Il caresse le couvercle laqué blanc et le soulève.
Il laisse courir ses doigts sur les touches ébène et ivoire. Au début, ce sont quelques notes timides, premiers pas hésitants, puis il se laisse aller et accélère la cadence. Tout à l'instrument, livre et compose à l'instant la symphonie de sa vie. Passages fortissimo pour les moments intenses, les batailles, les morts, la destruction, piano mélancolique pour la solitude, les questions, puis les combats reprennent, Thanatos qui le contrôle, et lui qui refuse d'être une marionette, quelques portées qu'il répète de nombreuses fois pour le routine, le cycle de son millénaire de vie, puis la découverte d'autres, qui le voient différemment, qui croient en lui, enfin il termine sur une mélodie puissante et crescendo, c'est la déploiement de ses ailes, son envol vers une vie par lui-même choisie, la liberté!
La dernière note tombe. Le Prince s'arrête, essouflé et détendu. Se donner à fond pendant quelques instants dans la musique a exorcisé cette rancoeur enfermée en lui.
Il a maintenant envie de douceur, d'Elyra qu'il a -il le réalise enfin- abandonnée toute la journée et même une partie de la nuit.
En sortant, il replace la tenture de façon à masquer l'entrée de ce qu'il considère comme sa pièce secrète.
* * *
Thanos vole jusqu'à la chambre et remarque instantanément que tout n'est pas comme d'habitude. Il fait plus sombre que d'habitude. Quelque chose manque: l'habituelle petite lueur des cheveux de son ange rien qu'à lui. Où est Elyra?
Il s'approche du lit et voit une feuille de papier dont il se saisit.
Elyra y a tracé de sa fine écriture quelques mots.
Thanos vole jusqu'à la chambre et remarque instantanément que tout n'est pas comme d'habitude. Il fait plus sombre que d'habitude. Quelque chose manque: l'habituelle petite lueur des cheveux de son ange rien qu'à lui. Où est Elyra?
Il s'approche du lit et voit une feuille de papier dont il se saisit.
Elyra y a tracé de sa fine écriture quelques mots.
"Mon Bien-Aimé Thanos,
Sache que je pense sincèrement qu'il faut fêter ta venue au monde. Ta naissance est pour moi un événement merveilleux et cher à mon coeur. Ton existence à mes côtés me rend heureuse à un point que tu n'imagines pas...
Avec tout mon amour,
Elyra"
à Thanos:
Je te souhaite un merveilleux anniversaire trésor de mon coeur !!!
Je te souhaite un merveilleux anniversaire trésor de mon coeur !!!
Publié par shinytear
j'ai l'esprit inspiration
Vendredi 19 janvier 2007 à 4:16
enfin je l'ai retrouvé!
un post sur un forum. un post pas de moi mais d'un dénomé chewy. Bref. contente de l'avoir retrouvé il m'amuse ^^ et vive la Gloubi-Boulga Night !!!
A tous ceux et celles qui pensent encore être jeunes, et bien NON !
Beaucoup d'étudiants qui sont entrés cette année (2005/2006) à l'université sont nés en 87 (l'année de la mort de Coluche).
Ils n'ont jamais chanté "we are the world, we are the children" ou "ça,c'est vraiment toi" ni entendu parlé du smurf.
Pour eux, le sida et le chômage ont toujours existé.
Les Twix ne se sont jamais appelés Raiders (2 doigts coupe-faim) et les M&Ms ne se sont jamais appelés Treets (fond dans la bouche pas dans la main)
Et ils ne sont pas au courant du licenciement abusif de Grosquik à cause de son embonpoint remplacé par un ridicule lapin sur les paquets de Nesquik.
Et ils n'ont jamais joué à la console Atari, au Commodore 64, au CPC6128 d'Amstrad.
Ils ne connaissent même pas Pac Man.
Ils n'ont jamais vu de disquettes 5 pouces 1/4. Ils te rient au nez quand tu leur dis que les premiers PC n'avaient pas de disque dur et que les écrans n'avaient qu'une couleur.
Le CD est apparu quand ils avaient à peine 1 an et ils n'ont jamais eu de 45 tours de Chantal Goya ou de mange-disques.
Ils ne savent pas ce que c'est que d'écouter la radio à grandes ondes,ignorent comment étaient les anciens téléviseurs et ne peuvent pas expliquer comment on faisait sans télécommande et comment on pouvait regarder la TV en noir et blanc.
Ils n'ont jamais vu de mire sur un écran télévision !
Ils ignorent totalement qui est Candy, le Prince d'Euphor et même le danger que représente un Golgoth.
Ils croient que James Bond a toujours été Pierce Brosnan, ils ne pensent pas aux dents de la mer quand ils se baignent.
Ils croient que les pattes d'éph' sont une invention des années 2000 et que le téléphone avec fil est un objet de science fiction, que le minitel est seulement un objet de déco rétro.
Pour eux les patins à roulettes ont toujours eu des roues alignées.
Mickaël Jackson a toujours été blanc.
Ils ne te croient pas quand tu leur dis que Yannick Noah a été un joueur de tennis avant et qu'il a gagné Roland Garros 3 ans avant leur naissance.
Ils ignorent que Fonzie est le mec le plus cool de la Terre. Ils savent que Giscard est un ex mais un ex quoi ?
Ils se foutent littéralement de ta gueule quand tu leur expliques, pendant qu'ils jouent à la Playstation 2, que tu t'amusais autant avec ton Télécran.
Alors dis-toi que ces gens qui sont rentrés à l'université cette année... ce sont EUX les Jeunes maintenant !!!!!!
Voici quelques symptômes de ton vieillissement :
Tu comprends le texte ci-dessus et tu souris en te disant "Putain de merde, mais c'est vrai en plus". Tu te rends compte quand tu lis les journaux qu'une bonne partie des gens du show-biz sont plus jeunes que toi.
Tu as parfois mal au dos et tu as des remèdes dans ta table de chevet ou dans le tiroir de ton bureau pour maux de tête, maux d'estomac...
Les enfants te disent maintenant «Madame » ou « Monsieur» et te vouvoient..
T'es obligé(e) de ranger ton linge toi-même.
Pas mal de tes amis sont mariés et ont même un ou plusieurs gosses.
Tu ne vas pratiquement plus au Mac Do.
Tu penses que le France-Allemagne du mondial 82 a été beaucoup plus marquant que la victoire de 98 (si tu es de sexe masculin, parce que sinon t'as pas trop d'avis sur la question).
Tu vas à la plage mais tu peux passer toute la journée sans te baigner. Si tu vas te baigner, tu penses toujours à rentrer ton ventre.
Tu trouves qu'on offre vraiment beaucoup de cadeaux aux enfants aujourd'hui par rapport à ce que t'avais à l'époque.
Tu as besoin d'une journée entière pour te remettre d'une soirée bien arrosée (si si, avoue-le).
Après avoir lu, tu décides de l'envoyer à d'autres VIEUX amis en te disant qu'il n'y a pas de raison qu'ils n'aient pas aussi une petite déprime comme toi, en pensant au temps qui passe...
un post sur un forum. un post pas de moi mais d'un dénomé chewy. Bref. contente de l'avoir retrouvé il m'amuse ^^ et vive la Gloubi-Boulga Night !!!
A tous ceux et celles qui pensent encore être jeunes, et bien NON !
Beaucoup d'étudiants qui sont entrés cette année (2005/2006) à l'université sont nés en 87 (l'année de la mort de Coluche).
Ils n'ont jamais chanté "we are the world, we are the children" ou "ça,c'est vraiment toi" ni entendu parlé du smurf.
Pour eux, le sida et le chômage ont toujours existé.
Les Twix ne se sont jamais appelés Raiders (2 doigts coupe-faim) et les M&Ms ne se sont jamais appelés Treets (fond dans la bouche pas dans la main)
Et ils ne sont pas au courant du licenciement abusif de Grosquik à cause de son embonpoint remplacé par un ridicule lapin sur les paquets de Nesquik.
Et ils n'ont jamais joué à la console Atari, au Commodore 64, au CPC6128 d'Amstrad.
Ils ne connaissent même pas Pac Man.
Ils n'ont jamais vu de disquettes 5 pouces 1/4. Ils te rient au nez quand tu leur dis que les premiers PC n'avaient pas de disque dur et que les écrans n'avaient qu'une couleur.
Le CD est apparu quand ils avaient à peine 1 an et ils n'ont jamais eu de 45 tours de Chantal Goya ou de mange-disques.
Ils ne savent pas ce que c'est que d'écouter la radio à grandes ondes,ignorent comment étaient les anciens téléviseurs et ne peuvent pas expliquer comment on faisait sans télécommande et comment on pouvait regarder la TV en noir et blanc.
Ils n'ont jamais vu de mire sur un écran télévision !
Ils ignorent totalement qui est Candy, le Prince d'Euphor et même le danger que représente un Golgoth.
Ils croient que James Bond a toujours été Pierce Brosnan, ils ne pensent pas aux dents de la mer quand ils se baignent.
Ils croient que les pattes d'éph' sont une invention des années 2000 et que le téléphone avec fil est un objet de science fiction, que le minitel est seulement un objet de déco rétro.
Pour eux les patins à roulettes ont toujours eu des roues alignées.
Mickaël Jackson a toujours été blanc.
Ils ne te croient pas quand tu leur dis que Yannick Noah a été un joueur de tennis avant et qu'il a gagné Roland Garros 3 ans avant leur naissance.
Ils ignorent que Fonzie est le mec le plus cool de la Terre. Ils savent que Giscard est un ex mais un ex quoi ?
Ils se foutent littéralement de ta gueule quand tu leur expliques, pendant qu'ils jouent à la Playstation 2, que tu t'amusais autant avec ton Télécran.
Alors dis-toi que ces gens qui sont rentrés à l'université cette année... ce sont EUX les Jeunes maintenant !!!!!!
Voici quelques symptômes de ton vieillissement :
Tu comprends le texte ci-dessus et tu souris en te disant "Putain de merde, mais c'est vrai en plus". Tu te rends compte quand tu lis les journaux qu'une bonne partie des gens du show-biz sont plus jeunes que toi.
Tu as parfois mal au dos et tu as des remèdes dans ta table de chevet ou dans le tiroir de ton bureau pour maux de tête, maux d'estomac...
Les enfants te disent maintenant «Madame » ou « Monsieur» et te vouvoient..
T'es obligé(e) de ranger ton linge toi-même.
Pas mal de tes amis sont mariés et ont même un ou plusieurs gosses.
Tu ne vas pratiquement plus au Mac Do.
Tu penses que le France-Allemagne du mondial 82 a été beaucoup plus marquant que la victoire de 98 (si tu es de sexe masculin, parce que sinon t'as pas trop d'avis sur la question).
Tu vas à la plage mais tu peux passer toute la journée sans te baigner. Si tu vas te baigner, tu penses toujours à rentrer ton ventre.
Tu trouves qu'on offre vraiment beaucoup de cadeaux aux enfants aujourd'hui par rapport à ce que t'avais à l'époque.
Tu as besoin d'une journée entière pour te remettre d'une soirée bien arrosée (si si, avoue-le).
Après avoir lu, tu décides de l'envoyer à d'autres VIEUX amis en te disant qu'il n'y a pas de raison qu'ils n'aient pas aussi une petite déprime comme toi, en pensant au temps qui passe...
Publié par shinytear
j'ai l'esprit
Vendredi 19 janvier 2007 à 3:49
Assise bien droite, les mains sagement croisées sur les genoux, une tiare étincelante parant sa longue chevelure d'un noir profond, elle attend. Son visage fin et pâle affiche un air grave et résigné. Ses yeux voilés sont dans le vague. Elle ne regarde personne et tout le monde à la fois. Elle attend. Elle est vêtue d'une robe de soie d'un blanc pur. Elle aurait dû être la plus belle, la reine de la fête, elle aurait dû rayonner de bonheur, les yeux plein d'étoiles... mais non. Telle une petite fille sage, elle reste immobile et silencieuse, patiente, espérant désespérément qu'il arrive enfin. Autour d'elle, les gens rient, parlent, valsent. Nul ne la remarque, le poids de sa peine, elle le supporte seule. Qui s'en apercevrait? Personne ne prête réellement attention à personne de toutes façons. C'est bien connu. Elle porte son regard vers la porte, celle-ci s'ouvre et vomit des gens, des dizaines de personnes sans visage, brumeuses, aux formes floues, indéfinies, mais jamais lui. Lui qu'elle attend, lui qui était sensé l'accompagner durant le reste de sa vie, lui qui devait l'épouser, être à ses côtés. Mais il n'est pas là, il n'arrive pas, il reste absent, inexistant. Et elle l'attend.
Dans le brouillard de ces personnes qui existent de façon fausse il y en a une réelle. Elle danse. Ses gestes sont souples, profonds, ils expriment tant de vérité! Elle est la seule véritablement vivante ici. Ses mouvements, elle ne se contente pas de les ébaucher, elle les développe jusqu'au bout, racontant à l'aide de son seul corps, une histoire, l'histoire d'une vie, d'un coeur qui bat, de sentiments, de choses qui touchent, qui émeuvent. Elle ne danse pas comme une professionelle, mais on ne peut pas le lui reprocher car si elle manque de technique, elle ne manque pas d'âme, oui, c'est son âme qui lui souffle la chorégraphie et elle n'a plus qu'à se laisser aller. L'âme, le coeur et le corps sont liés et ensembles ils dessinent de merveilleuses arabesques, cette fille qui se donne à fond dans la danse fait rêver ceux qui posent les yeux sur elle.
Une femme présente dans la salle la remarque. En observant la danseuse, ses pensées vagabondent. Elle songe a ses parents qui l'ont empêchée de suivre sa passion pour la forcer à faire de longues études. Pour qu'elle ait une carrière, qui ne lui pleit pas forcément, mais dont ses géniteurs pourront être fiers. Et, sans s'intéresser à ce qu'elle aimait et à ce dont elle était capable, ils lui ont fait tout arrêter, lui imposant leur choix de vie. Pour leur complaire, elle a baissé la tête et suivi leurs directives. Mais en observant la danseuse, elle se sent pousser des ailes, elle a envie de relever la tête, de se laisser aller, de choisir sa vie au moins une autre fois. Elle ouvre la bouche et se met à chanter. Sa voix douce et chaude transporte un tourbillon d'émotion, que ce soit juste pour cette soirée, ou pour le reste de sa vie, elle choisit de briser ses chaînes. Elle va leur montrer à ceux qui ne lui ont pas fait confiance. Et elle joue de son instrument préféré: ses cordes vocales, se jouant des portées, des notes, des octaves, des técitures, oubliant les termes techniques qu'elle a appris, elle se laisse aller, fait passer son message.
Un chevalet, une toile blanche, une palette de couleurs, des pinceaux, des crayons. La toile ne va pas rester blanche bien longtemps. Déjà la peintre s'active, elle esquisse la scène: la salle de fête pleine de brouillard gris au milieu duquel 3 silhouette se précisent. De son trait sûr elle trace le contour de ces filles. Elle installe la poupée de porcelaine aux regard désespéré sur sa chaise, fait se mouvoir la poupée qui colore la salle avec les sentiments de sa danse, met en valeur la poupée grise qui semble s'éveiller d'un long sommeil, prenant petit à petit une teinte pastel. Ce qu'elle a devant les yeux et représente avec son art c'est la tristesse, la liberté, l'éveil, ce sont trois personnes, mais ce pourrait être la même. Une poupée qui prend vie et découvre les émotions.
Une poupée de porcelaine, son visage fin et parfait, son teint blanc, ses lèvres peintes, celle qui, sur une chaise dans une vitrine, attend. Attend celui qui a promis de revenir. Des gens passent devant la vitrine, certains regardent la poupée, d'autres n'y prêtent même pas attention. Ses yeux de verre fixés sur la porte droit devant elle, elle attend, à la fois patiemment et désespérément. La vie d'une poupée de porcelaine peut être longue, très longue, à passer de vitrine en vitrine, toujours immobile, toujours plus désespérée. Elle attend. Et un jour il finira par venir à elle. Ou un jour elle se brisera. Qui sait?
C'est joli mais si fragile la porcelaine...
Dans le brouillard de ces personnes qui existent de façon fausse il y en a une réelle. Elle danse. Ses gestes sont souples, profonds, ils expriment tant de vérité! Elle est la seule véritablement vivante ici. Ses mouvements, elle ne se contente pas de les ébaucher, elle les développe jusqu'au bout, racontant à l'aide de son seul corps, une histoire, l'histoire d'une vie, d'un coeur qui bat, de sentiments, de choses qui touchent, qui émeuvent. Elle ne danse pas comme une professionelle, mais on ne peut pas le lui reprocher car si elle manque de technique, elle ne manque pas d'âme, oui, c'est son âme qui lui souffle la chorégraphie et elle n'a plus qu'à se laisser aller. L'âme, le coeur et le corps sont liés et ensembles ils dessinent de merveilleuses arabesques, cette fille qui se donne à fond dans la danse fait rêver ceux qui posent les yeux sur elle.
Une femme présente dans la salle la remarque. En observant la danseuse, ses pensées vagabondent. Elle songe a ses parents qui l'ont empêchée de suivre sa passion pour la forcer à faire de longues études. Pour qu'elle ait une carrière, qui ne lui pleit pas forcément, mais dont ses géniteurs pourront être fiers. Et, sans s'intéresser à ce qu'elle aimait et à ce dont elle était capable, ils lui ont fait tout arrêter, lui imposant leur choix de vie. Pour leur complaire, elle a baissé la tête et suivi leurs directives. Mais en observant la danseuse, elle se sent pousser des ailes, elle a envie de relever la tête, de se laisser aller, de choisir sa vie au moins une autre fois. Elle ouvre la bouche et se met à chanter. Sa voix douce et chaude transporte un tourbillon d'émotion, que ce soit juste pour cette soirée, ou pour le reste de sa vie, elle choisit de briser ses chaînes. Elle va leur montrer à ceux qui ne lui ont pas fait confiance. Et elle joue de son instrument préféré: ses cordes vocales, se jouant des portées, des notes, des octaves, des técitures, oubliant les termes techniques qu'elle a appris, elle se laisse aller, fait passer son message.
Un chevalet, une toile blanche, une palette de couleurs, des pinceaux, des crayons. La toile ne va pas rester blanche bien longtemps. Déjà la peintre s'active, elle esquisse la scène: la salle de fête pleine de brouillard gris au milieu duquel 3 silhouette se précisent. De son trait sûr elle trace le contour de ces filles. Elle installe la poupée de porcelaine aux regard désespéré sur sa chaise, fait se mouvoir la poupée qui colore la salle avec les sentiments de sa danse, met en valeur la poupée grise qui semble s'éveiller d'un long sommeil, prenant petit à petit une teinte pastel. Ce qu'elle a devant les yeux et représente avec son art c'est la tristesse, la liberté, l'éveil, ce sont trois personnes, mais ce pourrait être la même. Une poupée qui prend vie et découvre les émotions.
Une poupée de porcelaine, son visage fin et parfait, son teint blanc, ses lèvres peintes, celle qui, sur une chaise dans une vitrine, attend. Attend celui qui a promis de revenir. Des gens passent devant la vitrine, certains regardent la poupée, d'autres n'y prêtent même pas attention. Ses yeux de verre fixés sur la porte droit devant elle, elle attend, à la fois patiemment et désespérément. La vie d'une poupée de porcelaine peut être longue, très longue, à passer de vitrine en vitrine, toujours immobile, toujours plus désespérée. Elle attend. Et un jour il finira par venir à elle. Ou un jour elle se brisera. Qui sait?
C'est joli mais si fragile la porcelaine...
Publié par shinytear
j'ai l'esprit divagations
Mercredi 17 janvier 2007 à 0:05
Earwen
J'accroche un nouveau portrait à ma galerie. Cela faisait longtemps. L'élue de ce jour (ou plutôt cette nuit, il est pour l'instant 23h45) est ma chère Earwen, alis Wewen.
Wewen est une amie de RP. C'est donc en Lorndor que j'ai fait sa connaissance. A l'Auberge du Rêveur. Elle restait tout d'abord de son côté, mais laissant trainer une oreille attentive pour saisir la conversation des ceux qui seraient bientôt mes compagnons et de moi-même. Au final elle se joignit à nous et nous partîmes en une longue quête ayant pour but de sauver notre ami Whoami: la Cicatrice Malèfique.
C'est durant ce périple que nous devînmes amie. Wewen est ma meilleure amie RP en fait. Et nous vivons et vivrons d'autres aventures en Lorndor, voire même ailleurs, qui sait?
Côté IRL Wewen est une jeune femme qui aime écrire. Elle a en commun avec Salia qu'elle a beaucoup d'idées (et de très bonnes en plus ^^) et fait des fautes qu'il arrive que je corrige. Ma meilleure amie IRL et ma mailleure amie RP ont des points communs, c'est chouette! C'est une fan et joueuse du jeu de cartes Magic the Gathering. Elle fait des tournois et tout accompagnée de son chéri! Je suis incapable de vous parler du jeu mais elle saura répondre à toutes vos questions. Je sais qu'elle joue aussi à DOFUS.
Wewen est une personne à qui je peux parler, me confier (merci ^^) ce qui est tout à fait réciproque et elle le sait. Elle est capable de mettre ses problèmes personnels de côté pour m'écouter quand j'en ai besoin et je lui en suis reconnaissante.
Wewen aime les chevaux et l'équitation. Elle lit des mangas. Oh! Et Wewen est une artiste non seulement à la plume mais aussi au pinceau et à l'aquarelle, figurez vous que cette demoiselle Earwen dessine! Elle a sa galerie dur Deviant Art: Arwen-l'elfe
Wewen est une amie de RP. C'est donc en Lorndor que j'ai fait sa connaissance. A l'Auberge du Rêveur. Elle restait tout d'abord de son côté, mais laissant trainer une oreille attentive pour saisir la conversation des ceux qui seraient bientôt mes compagnons et de moi-même. Au final elle se joignit à nous et nous partîmes en une longue quête ayant pour but de sauver notre ami Whoami: la Cicatrice Malèfique.
C'est durant ce périple que nous devînmes amie. Wewen est ma meilleure amie RP en fait. Et nous vivons et vivrons d'autres aventures en Lorndor, voire même ailleurs, qui sait?
Côté IRL Wewen est une jeune femme qui aime écrire. Elle a en commun avec Salia qu'elle a beaucoup d'idées (et de très bonnes en plus ^^) et fait des fautes qu'il arrive que je corrige. Ma meilleure amie IRL et ma mailleure amie RP ont des points communs, c'est chouette! C'est une fan et joueuse du jeu de cartes Magic the Gathering. Elle fait des tournois et tout accompagnée de son chéri! Je suis incapable de vous parler du jeu mais elle saura répondre à toutes vos questions. Je sais qu'elle joue aussi à DOFUS.
Wewen est une personne à qui je peux parler, me confier (merci ^^) ce qui est tout à fait réciproque et elle le sait. Elle est capable de mettre ses problèmes personnels de côté pour m'écouter quand j'en ai besoin et je lui en suis reconnaissante.
Wewen aime les chevaux et l'équitation. Elle lit des mangas. Oh! Et Wewen est une artiste non seulement à la plume mais aussi au pinceau et à l'aquarelle, figurez vous que cette demoiselle Earwen dessine! Elle a sa galerie dur Deviant Art: Arwen-l'elfe
(automne)
et aujourd'hui elle m'a offert ce dessin représentant mon personnage:Youpiiiii !!! Elle est géniale ma Wewen!!! J'avais déjà mis son blog en lien dans l'article sur les attributions des "plumes d'honneur" mais je le remets: Earwen.
Plein plein de Bisoux ma Wewen, tu es une amie qui compte, j'adore faire du RP avec, toi, discuter avec toi et tout et tout, j'aimerais bien un jour te rencontrer. et alors je serai comblée !!!
Plein plein de Bisoux ma Wewen, tu es une amie qui compte, j'adore faire du RP avec, toi, discuter avec toi et tout et tout, j'aimerais bien un jour te rencontrer. et alors je serai comblée !!!
Publié par shinytear
j'ai l'esprit Portrait