"Ce n'est pas parce qu'une personne est morte qu'elle ne fait plus partie de la famille"
shinytear
Plume-esprit ou Esprit de plume...
Samedi 21 octobre 2006 à 3:27
ce soir j'ai voulu écrire un article. un article sur ma journée car
elle ne s'est pas bien passée. Une petite remarque pas si méchante mais
qui m'a retournée. Je me serais donc plainte par écrit. Et ça aurait
servi à quoi? si au moins je savais dire des choses basiques avec des
jolies tournure, un style ... mais non. ca aurait été un article
inintéressant et même pas agréable à lire. Enfin je dis que j'ai eu une
mauvaise journée... ce n'est rien comparé à celle d'autre personnes.
J'ai eu une amie au téléphone. Ce qui lui arrive est merveilleux... et terrible à la fois. Le doute. L'amour. La peur. Une réponse redoutée qui tarde... un garço qui hésite. qui se dit perdu, qui attends un signe extérieur pour prendre une décision. Qui dit ne pas vouloir la faire souffrir mais qui le fait quand même... tout en la rendant heureuse... elle rit, elle pleure, elle est heureuse, elle a si mal...
Je me suis connectée tard va savoir pourquoi... et j'ai eu un message. Une sorte d'appel au secours auquel j'ai immédiatement répondu. Et je l'ai écoutée cette fille que je ne connaissais que de nom, à qui je n'avais jamais parlé. Je l'ai écouté me raconter ses souffrances morales et physiques, ses doutes ses questions, sa peur si profonde, sa détresse... et lui qui doute de pouvoir l'aider... qui l'aime à la folie... et eux qui après plus d'une heure de fausses conversation ont enfin commencé à se parler sincèrement... où cela mènera-t-il? Ils doutent, ils se créent des barrières, ils sont si peur...
Et lui mon Lui, qui s'est connecté alors que je n'aurais pas dû être là. Mais par chance j'étais là pour l'accueillir alors qu'il souffrait. On l'a frappé. Comme ça. Et moi là derrière mon écran qui l' "écoute", mais c'est tout. Je lui demande ce que je peux faire, il me répond "rien". et c'est probablement vrai. je suis inutile. Cette pensée est mordante . Pourtant je veux croire que je peux faire quelque chose, sinon pourquoi exiserais-je? il faut juste que je trouve quoi.
Le point commun de ces personnes est leur souffrance du corps et/ou du coeur, les vannes qui se sont ouvertes, les nerfs qui ont lâché... et moi qui étais là pour les écouter. Et aussi de l'amour... l'amour qu'ils se portent mais qu'ils n'osent s'avouer par peur... cette peur qui paralyse nos lèvres, qui nous empêche de dire des mots qui sont sensés rendre heureux...
Je crois en le destin.
Ecouter ce n'est pas grand chose. Souvent c'est bien, car se confier ça soulage, mais là il aurait fallu que je fasse plus pour aider vraiment. Etre un véritable soutien.
Je n'ai été qu'une illusion d'aide. Peut-être même pas ça. J'ai été là, c'est vrai, mais j'ai été transparente. J'ai été le journal intime de chacun, ou le miroir... ou une feuille sur laquelle on griffonne sa detresse ou sa rage, son chagrin, pour se soulager un moment. Puis cette feuille on la chifonne ou on la jette ou on la laisse s'envoler...
Ecrire ce qu'on ressent ne nous soulage qu'un moment. A long terme il faut autre chose. mais en attendant c'est toujours ça.
Mais si seulement je pouvais réellement faire quelque chose...
J'ai eu une amie au téléphone. Ce qui lui arrive est merveilleux... et terrible à la fois. Le doute. L'amour. La peur. Une réponse redoutée qui tarde... un garço qui hésite. qui se dit perdu, qui attends un signe extérieur pour prendre une décision. Qui dit ne pas vouloir la faire souffrir mais qui le fait quand même... tout en la rendant heureuse... elle rit, elle pleure, elle est heureuse, elle a si mal...
Je me suis connectée tard va savoir pourquoi... et j'ai eu un message. Une sorte d'appel au secours auquel j'ai immédiatement répondu. Et je l'ai écoutée cette fille que je ne connaissais que de nom, à qui je n'avais jamais parlé. Je l'ai écouté me raconter ses souffrances morales et physiques, ses doutes ses questions, sa peur si profonde, sa détresse... et lui qui doute de pouvoir l'aider... qui l'aime à la folie... et eux qui après plus d'une heure de fausses conversation ont enfin commencé à se parler sincèrement... où cela mènera-t-il? Ils doutent, ils se créent des barrières, ils sont si peur...
Et lui mon Lui, qui s'est connecté alors que je n'aurais pas dû être là. Mais par chance j'étais là pour l'accueillir alors qu'il souffrait. On l'a frappé. Comme ça. Et moi là derrière mon écran qui l' "écoute", mais c'est tout. Je lui demande ce que je peux faire, il me répond "rien". et c'est probablement vrai. je suis inutile. Cette pensée est mordante . Pourtant je veux croire que je peux faire quelque chose, sinon pourquoi exiserais-je? il faut juste que je trouve quoi.
Le point commun de ces personnes est leur souffrance du corps et/ou du coeur, les vannes qui se sont ouvertes, les nerfs qui ont lâché... et moi qui étais là pour les écouter. Et aussi de l'amour... l'amour qu'ils se portent mais qu'ils n'osent s'avouer par peur... cette peur qui paralyse nos lèvres, qui nous empêche de dire des mots qui sont sensés rendre heureux...
Je crois en le destin.
Ecouter ce n'est pas grand chose. Souvent c'est bien, car se confier ça soulage, mais là il aurait fallu que je fasse plus pour aider vraiment. Etre un véritable soutien.
Je n'ai été qu'une illusion d'aide. Peut-être même pas ça. J'ai été là, c'est vrai, mais j'ai été transparente. J'ai été le journal intime de chacun, ou le miroir... ou une feuille sur laquelle on griffonne sa detresse ou sa rage, son chagrin, pour se soulager un moment. Puis cette feuille on la chifonne ou on la jette ou on la laisse s'envoler...
Ecrire ce qu'on ressent ne nous soulage qu'un moment. A long terme il faut autre chose. mais en attendant c'est toujours ça.
Mais si seulement je pouvais réellement faire quelque chose...
Publié par shinytear
j'ai l'esprit *feeling*
Vendredi 20 octobre 2006 à 22:01
"Des baisers ont été échangés
il y a quelques jours...
il y a de l'amour
son piano et sa voix seraient ils accordés?"
il y a quelques jours...
il y a de l'amour
son piano et sa voix seraient ils accordés?"
Publié par shinytear
j'ai l'esprit
Mardi 17 octobre 2006 à 23:59
"Il y a tellement de haine dans ce monde.
Malgré tout, nos coeurs débordent d'amour.
Lève toi et dis au monde entier
que rien n'empêchera ces histoires d'amour."
Malgré tout, nos coeurs débordent d'amour.
Lève toi et dis au monde entier
que rien n'empêchera ces histoires d'amour."
Raj Aryan
(film : "Mohabbatein")
(film : "Mohabbatein")
Publié par shinytear
j'ai l'esprit citations
Mardi 17 octobre 2006 à 23:52
"L'amour...
la plus grande inspiration de la musique.
L'inspiration...
L'amour et la musique sont étroitement liés.
Tous deux proviennent du coeur...
Leurs destinées dépendent de l'expression de son coeur.
Quand on aime, on le dit.
L'important n'est pas qu'il accepte notre amour.
Quand on veut jouer d'un instrument, on le fait.
On ne se soucie pas d'être bon ou mauvais.
On écoute son coeur.
On fait ce qu'il nous dicte.
Rien de plus."
la plus grande inspiration de la musique.
L'inspiration...
L'amour et la musique sont étroitement liés.
Tous deux proviennent du coeur...
Leurs destinées dépendent de l'expression de son coeur.
Quand on aime, on le dit.
L'important n'est pas qu'il accepte notre amour.
Quand on veut jouer d'un instrument, on le fait.
On ne se soucie pas d'être bon ou mauvais.
On écoute son coeur.
On fait ce qu'il nous dicte.
Rien de plus."
Raj Aryan
(film : "Mohabbatein")
(film : "Mohabbatein")
Publié par shinytear
j'ai l'esprit citations