Je t'aime toi, tu le sais ça?

unissons nous

ne faisons qu'un

je ne veux pas te laisser partir

je veux rester au près de toi

toujours

ou du moins aussi longtemps que possible




Ca se peut tout ça? C'est la vérité ou un bug du Grand Système?

Un nouveau futur se met en place, jonché de bonheur et d'amour. Oh! Et de soleil aussi.

Enfin c'est une hypothèse. Peut-être que quand je vais arriver au bout de ma page et la tourner pour lire la suite de cette fantastique histoire je découvrirai qu'il n'y a rien au verso, pas de texte. Qu'au bout du chemin blanc que je parcoure en ce moment se trouve un éboulis insurmontable. Peut-être, peut-être pas.

Dans un couple il y en a un qui aime et l'autre qui se laisse aimer. C'est ce qu'on dit. J'ai pu observer la véracité de ces dires, un peu pessimistes mais plutôt réalistes. Et j'ai déjà joué les deux rôles.

Pourtant cette fois, il semble que nous nous aimions tous les deux, autant, aussi fort. C'est perturbant. Ô combien agréable aussi, je ne saurais le nier. Mais perturbant quand même, dans le sens où je me demande si il est "normal" que cela se passe ainsi. Je me questionne parfois mais loin de regretter cette situation, je la vis à fond!


En fait, la raison pour laquelle je suis un peu paumée c'est que pour la première fois je vis uns histoire d'amour avec quelqu'un de mon choix. C'est moi qui ai choisi mon chéri cette fois! Et je crois même qu'il serait plus juste et plus fous aussi de dire que nous nous sommes choisis tous deux et réciproquement. C'est encore plus magique et beau! Dingue aussi!

Je l'ai Choisi. Lui. Et... nous sommes ensemble, wahou !!! Youpi même!
Je crois que je n'en reviens pas. C'est une situation si nouvelle pour moi! Je n'ai donc aucun repère. C'est tout nouveau et de fait, je ne sais pas à quoi m'attendre pour la suite. Me préparer au pire dès maintenant? Ou m'émerveiller du meilleur à venir (avenir) ?

De par le passé, l'un m'avait eue de par le respect qu'il m'inspirait, un autre à l'usure et un dernier parce que j'étais dans une phase vulnérable et même assez instable il faut le dire. Les sentiments d'amour n'étaient pas là au début. Chaque fois, ils ne sont venus que plus tard.

Tandis que cette fois, l'amour était là avant. Et lors de notre premier baiser ainsi qu'à chacune de nos retrouvailles, il fuse de partout, éclatant en feux d'artifice multicolores et laissant dans son sillage des trainées irisées de tendresse et de passion.

Je suis mordue, Loup. Et tu es charmé.

Non je ne me prends pas la tête. Je pense, c'est tout. Je l'ai toujours fait. Se préparer au pire pour que, le moment venu, ce soit moins difficile à vivre. Je crois... que ça a marché. Je crois.

Je flotte entre deux eaux, je me laisse porter. Tant qu'il est là près de moi, alors ça va. Je suis apaisée. Je suis bien. Je continue de croire en une sorte de destin, de chemin à suivre, de fil conducteur. Ce qui m'est arrivé m'a conduite tout droit - ah non pas tout droit en fait "^^ - dans ses bras... sur son coeur... et je peux me laisser aller sans peur...
Quoi qu'il arrive, j'aurai connu le bonheur, j'aurai vécu quelque chose d'incroyable, la plus belle des histoires...

Plus doux est le rêve et plus dur le réveil

pourtant il faut bien se réveiller n'est-ce pas?

les seuls à vivre un rêve éternel ce sont des gens morts

de toute façon l'éternité ça ne m'intéresse pas

beaucoup trop long

je m'ennuierais

et si il y a bien une chose qui me désintéresse de la vie et me tue c'est l'ennui

je suis encore dans mon songe si doux et je me dis que le réveil peut l'être tout autant en fin de compte

            nuages dorés

oiseaux bleus

et papillons roses   

En psychiatrie le terme dépression du latin depressio^[1]. , "enfoncement" désigne une maladie pour certains, ou un syndrome pour d'autres, dont la manifestation centrale est un état mental caractérisé par une lassitude importante, une dépréciation de soi, un pessimisme qui entraînent des perturbations importantes dans les rapports psycho-affectifs.

C'est une maladie fréquente, qui affecte presque 20% des gens au cours de leur vie, et qui marque une rupture avec le fonctionnement psychologique habituel du patient. Le risque évolutif le plus grave de cette pathologie est le suicide, en particulier quand elle n'a pu être détectée et prise en charge. Ainsi, près de 70% des personnes décédant par suicide en France souffraient d'une dépression le plus souvent non diagnostiquée et traitée ^[2].

• Il ne faut pas confondre la dépression avec ce qu'on appelle communément "coup de blues" ou "déprime" qui traduit une tristesse passagère, normale dans une situation difficile.
• Le terme dépression possède une signification ou classification différente en psychopathologie et en psychanalyse, où il décrit un processus psychique douloureux lié à une perte sans être nécessairement pathologique. 10 % des Français présentent des signes de dépression^[

(extrait de wikipedia)




La dépression a t elle toujours existé? Peut-être bien. mais depuis qu'elle est un mal reconnu, n'aurait elle pas pris de l'ampleur? ne se serait elle pas répandue? Si l'on regarde autour de soi, il est effrayant de voir que nombreuses sont les personnes qui en souffrent. Il y a un mal-être lancinant réel. Est-ce dû à la société? Il y a aussi une histoire de génération, je crois. Ou alors cette impression m'est donnée par le fait que je connaisse plus de gens "de mon âge" à être touchés que des adultes. Pourtant, Certains le sont aussi.
Après, il y a sûrement une histoire d'éducation. Avant, s'apitoyer sur soi n'était pas le chemin à suivre. Il fallait se montrer battant, brillant, fort, être un exemple. Maintenant on a le droit de s'arrêter. De baisser les bras. Car c'est une pathologie. C'est du sérieux, ce n'est plus de la comédie, plus juste pour attirer l'attention comme on le croyait avant.

Pourquoi est-ce que je dis tout ça? C'est juste que je pense que ce sujet est d'actualité. Maintenant... c'est la fin de l'année, c'est l'hiver, il fait froid et humide, il pleut, beaucoup de nous ont des problèmes d'argent, ou de travail, voire même d'études. L'ambiance n'est pas facile. Et il y a la solitude. Non, je veux dire l'éloignement plutôt. On n'est pas forcément très loin et pourtant on ne peut pas être ensemble.
Vivement la maison du bonheur! quand il y aura juste à changer d'étage, traverser un couloir... et ouvrir ses bras pour que la personne d'en face sache où trouver refuge et réconfort.

La déprime. Il y en a qui sont forts, qui s'en sortent, parce qu'ils le veulent. Il y en a qui hésitent à sortir du trou car en déprimant on attire l'attention. Il y en a qui font juste mine de tenter le coup, car au fond ils se complaisent dans leur brouillard humide et malsain, il y a ceux qui ont beau tout faire pour s'en sortir, il y a toujours d'autres problèmes, de nouveaux coups durs et des complications. Ce qui porte à croire que le destin s'acharne. Cela s'appelle la poisse. Mais ça peut s'arranger. Même si plus le temps passe et plus c'est compliqué.

Une chose pourtant : vous qui allez mal, qui appréciez que l'on prenne soin de vous, que l'on soit à votre écoute, que nous vous prêtions notre oreille pour vos plaintes, notre épaule pour vos larmes, ne croyez pas que vous êtes plus intéressants parce que vous êtes (ou que vous voulez vous croire) mal dans votre peau. Je vous assure, on vous préfère quand vous riez naturellement, que vous êtes joyeux sans faux-semblant. c'est tellement plus agréable!
Comprenons nous bien, tout le monde a droit à des baisses de régime. C'est la vie, hélas. Avec ses hauts et ses bas. Mais il y en a qui en profitent, qui s'engluent là-dedans et s'y laissent noyer sans trop réagir. Ils vous diront qu'ils ne peuvent rien y faire. Parce que y a ceci et celà et que de toutes façons ça ne changerait rien alors autant ne même pas tenter le coup. Et bien dans ce cas c'est votre choix. Il y a des gens autour de vous prêts à vous épauler, vous soutenir, vous aider à avancer. Ils se donnent pour vous. A fond. Sans rien demander en retour. Juste par amour. Alors le moins que vous puissiez faire, c'est leur prouver qu'ils comptent pour vous, que vous réalisez à quel point ils sont importants et bons, alors faites un effort, remontez bon sang!
Ce sera tellement mieux, pour vous et pour eux!

Si ça se trouve je vous parais dure et insensible mais je parle d'expérience. Il faut différencier ceux qui ont vraiment besoin d'aide car ils ont la volonté de remonter la pente, et ceux qui profitent du système.

Allez tous ceux que j'aime! Je suis là! Vous êtes là! On est ensemble alors tout va aller mieux!
2008 est une année pourrie (à part quelques épisodes heureusement) alors on va espérer que 2009 soit plus propice au bonheur !

Je vous embrasse, je vous aime !!!

(et je me relirai plus tard. texte brut de pomme. Comme d'hab!)

Mon coeur m'a parlé ce matin. Il m'a dit :

- Moi j'arrête, je fais une pause. Et crois moi tu devrais faire pareil. Arrête d'essayer de penser à tout et à tout le monde, c'est une tâche insurmontable que de tout démêler.

Il m'a dit :

- Je suis une réserve d'amour et je sais que tu as envie de la distribuer sans compter. Tu ne peux la garder pour toi. Tu veux les faire sourire, les apaiser, les consoler eux tous. Et c'est génial, j'adore faire cela avec toi, mais regarde : en ce moment tu ne dois pas. Tant que tu ne seras pas claire dans ta tête, je ne te laisserai plus y toucher. Ne t'inquiète pas je suis patient, je garde tout cela au chaud et quand ce sera le moment tu pourras en innonder ton entourage. Mais pas maintenant. Ce n'est pas encore le moment.

Il m'a dit :

- Là tu vas devoir faire un gros effort. Tu vas devoir faire un choix et pour cela tu dois être égoïste pour une fois. Mais si tu vas y arriver. Ne pense pas à eux, ne te focalise pas sur les catastrophes que tu vas provoquer. Ne fais pas ton choix en essayant de limiter les dégâts. sois vraie, sois sincère et sois toi. Si si tu peux le faire. Pas de discussion, action.

Il m'a dit aussi :

- De toute façon, pour être sur que tu le fasses, je vais arrêter de battre. Je veux dire, j'assurerai le service minimum bien sûr. Pour ta vie. Mais point de sentiment. Tu fais le vide, tu es sure de toi. Et un jour, quand tu auras choisi, je me remettrai à battre. bien joyeusement et bien fort. Et toute la réserve d'amour tu pourras en submerger ton élu. Et les autres aussi bien sûr. Et la vie continuera. Mais on en choisit un bien cette fois. Un qui méritera tout ce que tu vas lui offrir.

Il m'a dit enfin:

- Crois moi. Depuis le temps que toi et moi on fait équipe, je te connais. fais moi confiance. Ca va être dur, mais tu le feras. Et moi je serai là, silencieux mais présent. Fais le vide. La réponse viendra toute seule.
Et quoi que cela provoque, il le faudra bien. La vie n'est pas toujours facile, mais on tient le coup. Tu es prête? Courage!
3... 2... 1...

Hibernation.